Montage de stawaca-music Thaaaaank's *-*


Chapitre 12


Yamashita arriva cinq minutes en avance, il s'installa dans le sable, regardant le ciel.
 
Il avait embrassé Ryo, ce n'était pas rien... Comment le dire à son ami ? Passez par quatre chemins ne servirait à rien, Koyama n'était pas assez subtil pour comprendre malheureusement...
 
-Je vais devoir le lui dire clairement, pensa Yamashita à voix haute.
-Dire quoi à qui clairement ?
 
Yamashita sursauta et se retourna, devant lui se tenait son ami.
 
-Euh... ben... en fait... bafouilla-t-il.
-Mmmmh, à en voir ta mine c'est à moi que tu dois dire clairement... maintenant quoi ? demanda Koyama avec un grand sourire.
-JaiembrasséRyo, déballa Yamashita à un débit effrayant tout en rougissant.
-Ralentit, j'ai pas le décodeur, se moqua gentiment son ami.
 
Tomohisa prit une grande respiration et réitéra, sur un ton plus posé mais tout aussi gêné :
 
-J'ai embrassé Ryo...
-Oh...
 
Keiichiro s'assis à côté de son ami, attendant que ce dernier continue sur sa lancée.
 
-Je... J'ai... continua Yamashita après de longue minutes de silence mais ne termina pas, il rougit et enfuis sa tête dans ses mains.
-Tu ? l'encouragea Koyama.
-Si je n'avais fait que ça... mon dieu j'ai honte...
-Laisse le dieu là où il est je suis là moi, tu peux tout me dire, on se connaît peut-être pas depuis aussi longtemps que Ryo-chan et toi mais tu peux me faire confiance.
-Je sais et j'ai confiance en toi, lui répondit Tomohisa avec un sourire, mais j'ai tellement honte...
-Oh tu sais, j'en ai entendu des vertes et des pas mûres avec mes grands-parents, plaisanta-t-il afin de baisser la tension.
-Je me suis masturbé en pensant à Ryo, lâcha Yamashita de but en blanc.
 
Cela fit l'effet d'une bombe.
 
-Ah... Merde, ouai, c'est pas rien mais y a pire tu sais... commença Keii-chan.
-Ah oui ? comme quoi ? demanda Yamashita ironiquement.
-Comme le fait qu'il t'aurait surprit... Il t'a pas surprit hein ? demanda-t-il en se retournant vivement vers son ami.
-NON ! Bien sûr que non !
-Ouf, quoi que pour le baiser il a dût...
-Non, le coupa YamaPi, il dormait...
-Sérieux ?
-Oui ?
-Vraiment ?
-Ben oui, pourquoi ? lui demanda Yamashita se tournant vers lui un regard étonné.
-Baka Pi-geon !! s'exclama Keii-chan.
-Par... Pardon ?
-Ben oui, tu aurais pu t'expliquer, et vous auriez eu une belle histoire d'amour !
-Tu regarde trop « amour, gloire et beauté » toi, répliqua d'un ton maussade Pi.
 
Koyama explosa de rire. Sous l'éclat de rire de son ami, Yamashita ne pût réprimer à son tour son rire.
 
-Bon tu m'expliques tout maintenant ?
 
Et Tomo lui raconta tout, l'omelette, le ciné, la nuit, le réveil. Quand il eût fini Koyama réfléchissait.
 
-Tu l'as laissé en plan ? lui demanda-t-il enfin.
-Oui, répondit Pi contrit.
-Mmmh, il va pas être content... Tu rentres aujourd'hui aussi ?
-Non... Je reste jusqu'à mercredi avec Jin.
-Il va pas être content du tout en fait, souris Keii-chan.
-Je sais...
 
Après ça ils parlèrent du séjour de Koyama, en plus de son père il avait revu son grand père et dire qu'il jurait comme un charretier était un euphémisme. Ils parlèrent pendant encore une heure avant que Koyama lui dise qu'il devait malheureusement y aller.
 
-Au fait, le retint Yamashita.
-Oui ?
-Pas un mot à Ryo !
-Pas drôle, bouda Keii-chan, moi je voulais lui expliquer en détail ta masturbette.
 
Tomohisa piqua un fard monumental sous le fou rire de Keiichiro.
 
-Mais non t'inquiète, je compte rien lui dire.
-Merci, lui répondit-il gêné.
-Allez, à jeudi alors ?
-Oui, mais sur ça aussi, tu ne m'as pas vu !
-Oui oui, allez a plus.
 
Et il partit, Tomohisa rentra directement à l'hôtel pour passer le reste de la journée avec son cousin. Il entra donc dans le complexe mais se figea, il entendait des bruits plus que suspect venant de la chambre de Jin. Lentement il s'approcha de la chambre et regarda dans l'embrassure de la porte.
 
En face de lui, sur le lit, se tenait un Jin au dessus d'un jeune homme. Ils étaient tout deux recouvert par la couverture mais on pouvait voir leurs torses nus. Et en vue des mouvements de son cousin, l'acte qu'ils pratiquaient n'était surement pas innocent, surtout quand il entendit le jeune garçon, qu'il reconnu enfin comme celui du room service, gémir le prénom de Jin.
 
Yamashita sursauta et s'enfuit en vitesse de l'hôtel, il trouverait bien une activité à pratiquer en attendant que son cousin ait fini son... occupation ?
Il n'eût pas à chercher longtemps en voyant une boutique proposant des cours de surf, il tenta donc sa chance.
 
Les heures qui suivirent furent plus que houleuse mais Tomohisa dût avouer qu'elles avaient été génial, il pouvait maintenant surfer seul, pas impeccablement mais assez bien pour un débutant.
 
Il rentra donc à l'hôtel, espérant que Jin aurait fini...
 
Il apposa son oreille à la porte, guettant des bruits insolites, mais comme il n'entendait rien il ouvrit la porte et tomba sur une scène qui le fit rougir :
 
Akanishi tenant le jeune garçon par ses hanches et l'embrassant. Quand il entendit la porte s'ouvrir il se retourna et sourit de toutes ses dents à Yamashita.
 
-Je te présente Kazuya ! s'exclama Jin. Mon nouveau copain.
 
Les rougeurs qui apparurent sur les joues dudit Kazuya ne passèrent pas inaperçu, ni pour Jin ni pour Tomohisa.
 
Jin posa un regard doux mais possessif sur le jeune homme toujours dans ses bras.
 
-Ben oui, dit-il en haussant les épaules, maintenant que je t'ais je te garde.
-Mais... commença à protester Kazuya.
-Pas de mais, lui répondit son amant en fronçant les sourcils.
 
Yamashita était gêné de la scène qui se déroulait juste devant ses yeux, mais attendrit tout de même, surtout quand il vit le sourire bête qui s'affichait sur le visage de Kazuya.
 
-D'accord !
-J'espère bien ! lui répondit Jin tout en l'embrassant de nouveau.
 
Kazuya entoura sa nuque avec ses deux bras afin d'approfondir le baiser quand Yamashita rappela sa présence d'un raclement de gorge.
 
Ils se décollèrent et Kazuya rougit, encore, alors qu'un sourire goguenard s'affichait sur le visage de son cousin.
 
-Donc je disais, voici Kazuya, Kazu voici mon cousin Tomo-chan !
-Tomo-chan ? répéta son amant.
-Tomohisa Yamashita, l'éclaira le susnommé en tendant la main.
-Kamenashi Kazuya, lui répondit-il en lui prenant la main et lui faisant un sourire heureux.
-Bon ! s'exclama Jin. C'est pas tout ça mais j'ai faim moi ! On va manger ?
-Je dois retourner travailler, lui dit Kamenashi avec un sourire contrit.
-D'accord, répondit-il avec une moue boudeuse, Tomo ?
-J'ai faim aussi.
- Très bien, Kazu, donne-moi ton numéro !
 
 Ils échangèrent leur numéro, ensuite Kamenashi partit continuer son boulot tandis que Jin et Tomohisa prirent la direction du restaurant de l'hôtel.
-Comment tu comptes le revoir ? demanda Tomohisa. Il habite ici ?
-Non, il est là pour un mois pour faire un stage, il habite Tokyo, comme nous, lui répondit Jin avec un grand sourire.
-Cool !
- Je ne te le fait pas dire.
 
Le reste de la journée, et du séjour même, se déroula sans encombre, le matin Tomo et Jin se levaient vers midi, prenaient leurs déjeuners, faisaient des activités, enfin, surtout Yamashita, Jin lui préférait passer ses temps libres à titiller Kazuya quand celui-ci travaillait, d'ailleurs ils disparaissaient souvent ensemble...
 
Tomohisa s'était inscrit à un nombre impressionnant de cours : surf, plongée, volley, bricolage, etc. Enfin, toutes les activités qui lui plaisaient pour tuer le temps jusqu'à leur retour a Tokyo.
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Bon!, voila un chapitre décent XD Moi je l'aime bien =/ Il est sympathique je trouve =/ XD
Enfin voila quoi, j'ai absolument rien a dire XD
Je le poste to day car... ben... j'lai fini, a quoi sa sert d'attendre XD
 
ENJOY =D

 
Ce sera mon texte, avec mes faute d'orthographe, de grammaire, mes mot inventé, ect...
Jute moi et a tête =D
 
ENJOY !!! La vie est belle, faut se relever ^^
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Se relever... encore et toujours... Mais y a un moment ou les jambes ne suivent plus... Mais bon, on n'avance pas si on reste a terre, c'est ce que je me suis dit, donc dans une ultime explosion de courage je me suis encore relever... mais maintenant je vois que même cette ultime sursaut n'as servie a rien...
 
D'abord, quand la tête ne suis pas logique et se met de mèche avec le c½ur c'est fini, la raison n'existe plus... alors voilà, a cette époque je suis bêtement tombé amoureuse, on s'en relève pas !!! Même avec toutes mes idées, avec mes préjugés, avec les vécu de mes proche j'ai aussi attrapé cette maladie... Oui maladie !!!! Quand on est amoureux on est con, je considère ca comme une maladie !! Enfin pas au moment ou je l'ai attrapé, c'était la plus belle chose au monde... mon cul ouai !!! Sur le coup c'est bien, ensuite on vois les désavantage, on se rend compte qu'il y a des trucs qui marche pas... Chez certain ca arrive longtemps après la mise en couple, malheureusement pas moi, je l ai tout de suite vu ... n'étant pas adepte de la souffrance j'ai fait stop direct... Mais bon dieu que ca fais mal... alors que vous aimez toujours cette personne, ben oui, j'avais suivit ma raison plutôt que mon c½ur cette fois mais je l'aimais quand même !! Et puissamment !!! Surtout quand la réponse est « ah... d'accord ».
 
Je crois que j'ai jamais eu aussi mal, enfin je le croyait ... j'ai été soutenue mais les larmes on quand même coulé, ainsi que le sang, peut être bien que j'étais maso... mais cela faisait tellement de bien !!! Enfin soit... Même soutenue la douleur est la... mais je me suis relever... je ne souriais pas parce que j'allais bien, non seulement parce que je pensais que mon entourage avais besoin de ce sourire ! Franchement, tirer la tronche pendant un siècle sa sert a quoi ? A rien, on est d accord donc on sourit !!
 
Ensuite, le temps passe et pense un peu les blessures, pas beaucoup, mais assez pour que votre vrai sourire reviens, enfin du moins une esquisse.
 
Ensuite l'amoureux, ben oui, vous l'aimez, vous n'allez pas le railler de votre vie XD, vous continuez à le voir, et vous savez pas pourquoi, vous vous balancer méchanceté sur méchanceté, en fait, si vous savez pourquoi ! Mais franchement !? Avouer qu'on est blesser et qu'on veut juste se venger n'est as très glorieux, n'est ce pas ? Donc vus faite comme si vous ne savez pas... Pire même !! Vous pardonner, vous qui avez toujours été logique ET réfléchit, vous débarrassant de ce qui est blaisant pour ne garder que ce qui est réconfortant, vous pardonner !!! Je vous le dit, être amoureux c'est être con, donc malade, si con vous ne l'êtes pas à la base, et je peux me venter de ne pas être conne ! Folle, mais pas conne !!
 
Donc vous pardonner, obtenant le courroux de la personne a qui vous tenez le plus au monde, une nouvelle fissure !!! Parce que ca, c'est encore plus douloureux que d'être insulté par l'être aimé, c'est de déplaire a la personne que vous estimer le plus au monde, la personne que vous aimé d'un amour pur, fou, sincère, sans penser perverse, pas d'envie, pas de désir, juste un amour débordant comme il n'en existe pas d'autre !!! Encore plus fort que l'amour que vous porter a un amant ! Je pense que c'est ce qui est le plus douloureux... Mais malgré tout, parce que même si cette personne est une partit de votre être vous continuer, c'est tellement grisant ce sentiment quand on est avec la personne que l'on aime ! Les papillon dans l'estomac, le c½ur au bord des lèvres, cette envie de sourire pour un rien... Mais aussi cette putain de douleur !!!
 
Donc, vous voila déjà blesser, un peu réparer, reblesser ET réprimander, ben oui, vous êtes conne, vous vous laisser faire !! Conclusion : si vous étiez un vase vous ne contiendrez plus d'eau....
 
Ensuite, vous vous relevez encore, et oui rester par terre n'est pas la meilleur solution, faut encore se battre on a la vie devant nous =D connerie oui...
 
Donc vous vous réparer un tit peu, pas facile, vu que vous vous briser de plus en plus...
 
Ensuite le temps passe, qu'est ce que ca fait du bien de plus souffrir durant un moment, même infime bon dieu !!
 
Mais voila, la vie n'est pas rose, sinon ben on n'aurait pas souffert avant, logique non ? Doooonc, votre connard de meilleur ami vous blesse, vous vous étiez battu pour pas qu'il rentre dans votre vie celui la, oooh oui, mais lui est très, très, trop endurant, résultat : Il a eu votre sympathie, puis la confiance... Puis vous l'avez élevé au titre de meilleur amis... Qui a dit qu'il vaut mieux être seule que ma accompagné ? Et ben il n'a pas tout a fait raison mais pas tout a fait tord non plus... connard, t'aurais pas pu être plus claire ? Enfin soit, vous avez un meilleur ami, tout est bien tout est rose et puis BAM !!! Il vous blesse, ben oui, avec des épreuves comme vous en avez passé la moindre blessure peu ressembler a un tsunami !!! Et vous savez quoi ? Vous vous énervez, lui en voulez ET lui pardonnez, trop conne trop bonne... Pourquoi diable pardonner ? Parce que vous pensez qu'il tient a vous ? Ben oui, c'est pour ca... et que vous avez besoin de réconfort... Donc voila, encore un fissure... Et vous savez quoi ? Toujours pas casser, coriace la bête ^^
 
Mais avec une philosophie comme : La vie n'est pas si horrible ENJOY !! Vous ne pouvez que vous relever... mais voila... les genoux tremble, les jambes vacille... vous tenez bon, malgré tout, vous êtes d'ailleurs encouragé par cette personne qui fait partit de vous, celle la, si elle n'était pas là qu'est ce que vous aurez aimé tout envoyer en l'air et vous laisser vous briser en mille morceau si on en reviens a la métaphore du vase, bien sur sinon pour en revenir a la réalité... vous suicidé, parlons sans détour !!
 
Donc voila, vous tenez debout, cette personne (appelons la l'ange, car franchement c'est comme ca que je la vois et retaper sans cesse : la personne que vous aimez... blabla bla, c'est long) vous soutenant... Maintenant que j'y réfléchi, ca me fait penser a une séance de rééducation ! C'est avec l'ange que vous recommencer a marcher, puis vous vous en sortez tout seul, mais garder une canne a porter de main, sait on jamais...
 
Le temps passe... Ca va un peu mieux... Et la trahison ultime !!! Vous vous rendez compte que vous n'étiez rien pour votre meilleur ami... rien du tout, pas même un tit quelque chose... la le vase commence a tomber en miette, c'est dure vous savez ? Enfin dure... douloureux !
 
Mais l'ange est la, vous tien par la main, recolle se morceau qui est tombé...
 
Mais vous êtes un vase en porcelaine, une fois qu'il comment a se fissurer et a se briser c'est fini, il ne retrouvera jamais ca beauté, malgré les rafistolage, et c'est ce que je suis, un putain de vase en porcelaine, briser et recoller !!
 
Vous êtes en colère, très en colère, vous vous rendez de plus en plus compte de votre faiblesse... vous vous faites pitié, et pourtant vous vous en rendez compte mais pas moyen de revenir en arrière...
 
Maintenant entre divers conflit familiaux, ca sert rien de les détaillé, tout le monde en a, mais ca ne fait que rajouter des fissure.
 
Le temps continue de passer... Et la le truc en trop...
 
Votre amour vous a encore blesser, vous n'avez plus que votre ange a vos côté et elle essaye de vous réconforter mais voila, vous pardonnez encore ce garçon, faible fille que vous êtes face a l amour... et la le coup le plus dure a supporter...
 
Elle vous a abandonné... Elle est partit, vous laissant seule avec votre détresse... Et vous avez mal... vous souffrez... La on peu le dire, le vase à voler en mille morceau car même si vous saviez que si elle vous quittait vous ne vous en relèverez pas facilement que vous tomberez en morceau, la c'est pire, car avec toute ces fissure vous ne tomber pas en morceau mais en poussière et la pas de raccommodage possible, même grossier...
 
Vous êtes détruit...
 
Et c'est en regardant ce chemin que vous vous dites que vous n'avez jamais fait les bon choix, même celui là vous savez qu'il n'est pas le meilleur, si vous aviez repousser fermement votre ex-meilleur ami et si vous n'aviez pas céder a l'amour vous ne seriez pas la, devant cette voix ferré, attendant la train qui n'allait pas tarder a vous emmené ailleurs.
 
D'ailleurs le voilà ! Ce n'est pas son arrêt, vous le savez... c'est donc avec un dernier sourire, alors qu'il approchait a grande vitesse que vous vous laissez tomber...
 
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Bon !! Voila, je voulais juste sortir ce que j'avais sur le c½ur^^ Tout le monde fait des erreurs, tout le monde a un ange, et grand dieu merci elle ne m'a pas abandonné ^^
Trouver le votre et souriez, pleurer ne sert strictement à rien =)

Montage de stawaca-music ^^ *-* l'es trop boooooooooooooooooooooooooo *-*

/!\Lime
 
Chapitre 10
 
Une fois l'omelette engloutie, il n'y avait pas d'autre mot qui venait à la tête de Yamashita en regardant Ryo engouffrer ce qu'il avait préparé avec autant d'envie, ils se dirigèrent vers le cinéma.
 
Une fois en face de l'édifice ils entrèrent et firent la queue afin d'acheter les tickets, Ryo tenta tant bien que mal de le faire changer d'avis sur le choix du film, mais en vain...
 
- Allez quoi, je suis prêt à tout regarder avec toi mais là... c'est beaucoup me demander, déclara-t-il.
- Désolé Ryo, mais on était d'accord, ta vie contre un resto et un ciné, déjà que le resto est reporté !
- Mais je suis au ciné avec toi, c'est juste le choix du film qui me... il ne termina pas sa phrase.
- Qui te terrorise à en mourir, continua Yamashita, moqueur.
- Mais pas du tout ! s'insurgea Ryo.
- Mais oui bien sûr, c'est pour ca que tu es blanc et tout tendu, ironisa Yamashita en tâtant les muscles des bras de son ami, trop pris dans sa moquerie pour avoir réellement conscience du fait qu'il était occupé à tripoter son meilleur ami.
 
- D'accord ! s'exclama alors Ryo, se gonflant à bloc, quand se fut leur tour dans la queue pour la caisse, deux billets pour "souverain de l'enfer" !
 
Le garçon derrière le guichet le regarda d'un ½il morne et lui donna ses deux tickets, prenant l'argent en échange.
 
Tomohisa et Ryo se dirigèrent donc vers la salle qui allait sceller leurs destins, du point de vue de Ryo qui tremblait de plus en plus. Il enlaça sa main à celle de son meilleur ami, meilleur ami qui piqua un fard monumental, le dirigeant de force vers le fond de la salle, prenant des sièges assez éloignés des autres personnes voulant regarder ce film pour ne pas que ces dernières entendent ses gémissements de terreur.
 
Une fois installés, ils ne durent pas attendre longtemps pour que les pubs prennent place sur l'écran leur faisant face, vite remplacées par le film qui, au grand plaisir de Tomohisa mais au plus grand désespoir de Ryo, fut sanglant du début à la fin.
 
Mais Yamashita déchanta bien vite en sentant la main de son meilleur ami lui enserrer vraiment fort la sienne, il avait réussi à se dégager mine de rien là tout à l'heure mais il craignait que cette fois ce ne fût plus possible, de plus Ryo gémissait vraiment beaucoup, bien que ses plaintes soit de terreur, dans le noir d'une salle ils pouvaient être interprétés très, très différemment. C'est de plus en plus mal à l'aise, et avec la main de Ryo toujours dans la sienne sur sa cuisse, qu'il sentit avec horreur un légère bosse se former au niveau de son entre-jambe.
 
Il rougit encore plus fort que toutes les autres fois, c'était bien la première fois que son corps réagissait ainsi en présence de son ami, en fait c'était la première fois qu'il réagissait ainsi tout court, certes il avait l'ultime érection matinale tous les matins qu'il devait apaiser à l'aide de travaux manuels ou à coup de douches bien froides, mais jamais il n'en avait eue en journée !
Et c'était vraiment embarrassant, d'une parce que la main de son ami se trouvait vraiment très près de sa partie sensible, ensuite parce que les gémissements de plus en plus fréquent de son voisin n'arrangeait rien, ils empiraient même son état, il voyait des scènes toutes différentes les unes des autres dans sa tête mais toutes avaient un point commun : il était nu dans un lit et pas seul non, avec Ryo !
 
Il poussa un léger gémissement, qui ne passa bien évidemment pas inaperçu aux oreilles de son meilleur ami qui se tourna vers lui la mine toujours effrayée, mais cette fois un peu plus inquiète.
 
Yamashita n'était pas du tout du genre à gémir de peur en regardant un film d'horreur, il serait même plutôt de ces personnes qui rit sadiquement à chaque découpe de viande humaine, c'est donc inquiet qu'il s'était retourné vers son meilleur ami et il fut surpris par ce qu'il vit : Tomohisa était tendu, droit comme un piquet sur son siège, le souffle court, les joues rouges, du moins le croyait-il car les reflets sangs que jetait l'écran sur les spectateurs rendaient le teint de toutes les personnes présentes rougeâtre.
 
- Ca va ? demanda-t-il, oubliant complètement sa peur et passant une douce caresse sur la joue de son ami, sa main toujours enlacée avec celle de Tomohisa.
 
Yamashita ne put réprimer un gémissement légèrement plus fort au geste de son ami, sentant une étrange chaleur prendre possession de son corps. Il murmura tout de même un "oui oui, t'occupes, regarde le film" dans un souffle saccadé à son ami.
 
- Sûr ? lui demanda Ryo, perplexe, son ami avait-il réellement peur ? Ou avait-il un quelconque malaise ?
- Certain, déclara Yamashita en tournant vers lui un visage tendu mais souriant.
 
Ryo comptait répliquer mais un effroyable cri le fit revenir au film, se fût soulagé que Yamashita déplaça leurs mains toujours entrelacées sur l'accoudoir du fauteuil afin de l'éloigner le plus possible de son entre-jambe.
 
La fin du film fût difficile pour tous les deux, Ryo ne pouvant détacher ses yeux de l'écran, poussant des gémissements de plus en plus puissant au fur et à mesure que le dénouement  du film approchait, sûr que cette nuit il ne dormirait pas seul, foi de Nishikido ! Yamashita lui essaya tant bien que mal de calmer son érection en portant toute son attention sur le film sanglant mais ce fût en vain en entendant les gémissements de plus en plus puissants et poussés de son voisin, son excitation fût à son apogée quand Ryo ramena ses deux mains, avec celle toujours prisonnière de Yamashita, à ses lèvres, c'est sans faire attention qu'il mit par erreur un des doigts de Yamashita dans sa bouche, le confondant avec l'un des siens.
 
A ce geste Tomohisa gémis plus fort que précédemment, heureusement c'était la fin du film et donc le générique assourdissant avait masqué son éclat de voix, il se releva précipitamment, lança un "toilettes, je reviens" à Ryo afin de se retirer vers lesdites toilettes pour soulager la tension qui avait duré les trois quart d'heure restant du film.
 
Il s'enferma dans une des cabines de toilettes. Se calmer avec juste des respirations n'allait pas l'aider à se débarrasser de cette tension, c'est donc résigné qu'il ouvrit son jean, frôlant la bosse assez conséquente qui avait élu domicile dans son pantalon. Il laissa échapper un soupir de bien être en se touchant.
Sans s'en rendre compte son esprit dériva, sur son meilleur ami évidemment, il l'imaginait avec lui dans les WC, il imagina que c'était lui qui délivrait son membre gonflé par l'excitation de son boxer, c'est dans un gémissement rauque qu'il empoigna sur la longueur son sexe gorgé, imaginant toujours la main de Ryo à la place de la sienne, il effectua un léger va et vient, poussant un gémissement légèrement plus aigu où on pu reconnaitre le nom de son meilleur ami.
 
Alors qu'il appuyait plus fort tout en accélérant la cadence, il s'imaginait dans un lit avec son ami, il le vit s'avancer vers lui, l'embrasser, c'est en imaginant un "je t'aime" murmuré à son oreille qu'il se déversa dans sa main dans un gémissement rauque où l'on pu distinctement décoder le nom du jeune homme l'ayant accompagné au cinéma.
 
Ce n'est qu'une fois qu'il eût jouit et qu'il fut totalement réveillé de son songe éveillé qu'il se rendit compte de ce qu'il avait fait...
 
Il s'était masturbé en pensant à son meilleur ami !
 
C'est honteux qu'il ramassa les résidus de son plaisir avec le papier WC à sa disposition et qu'il rejoignit la personne dont le nom avait été gémis plus tôt.
 
Ryo était blanc comme un linge, le film avait fait extrêmement de dégât ! Il regarda Yamashita, ne remarquant pas que celui-ci faisait tout pour éviter directement ses yeux.
 
C'est donc en silence qu'ils se rendirent vers chez ce dernier, silencieux, l'un toujours en état de choc et l'autre horriblement gêné.
 
- On dort ensemble, hein ? demanda Ryo posant un regard terrifié sur son ami.
 
Ami qui ne sût lui répondre, il ne pouvait pas laisser son meilleur ami dans cet état-là, sans prononcer un mot les deux garçons se dirigèrent vers la chambre de l'habitant de la maison.
 
Yamashita s'endormit d'une traite, n'étant pas du genre à chercher le sommeil, celui-ci venait toujours le chercher avec délice. Ryo lui se tourna, retourna et reretourna quand enfin il consentit à suivre son instinct qui lui hurlait de prendre son meilleur ami dans les bras afin de se rassurer, chose qu'il fit.
 
Il se rapprocha de Yamashita, le prit par la taille et le colla contre lui, Tomohisa, ayant le sommeil très lourd, ne se réveilla même pas, ce n'est que très tôt au matin qu'il se rendit compte de la position très très embarrassante dans laquelle il était, en effet il était en érection ET dans les bras de la raison de son excitation.
 
Malgré tout il ne pût se résigner à se dégager de l'étreinte de son ami, c'est dans un état second qu'il rapprocha son visage de Ryo, plus il se rapprochait plus son esprit partait à la dérive, le déconnectant de la réalité. C'est donc dans un état de léthargie total qu'il posa ses lèvres sur celles étrangement attirantes de l'être endormi qui le tenait dans ses bras. Ce n'est que quelques secondes plus tard, alors qu'il testait la douceur des lèvres de son vis-à-vis, qu'il se rendit compte de ce qu'il faisait, il se dégagea des bras de son ami d'un seul coup, réveillant ce dernier.
 
Ni une, ni deux, Yamashita s'en alla dans la salle de bain, laissant un Ryo perplexe sur son réveil, il avait été surpris, Tomohisa avait eu les yeux grands ouverts, le souffle saccadé et une bosse plus que proéminente au niveau du boxer. Son ami était-t-il gêné de l'état naturel des choses ?
 
Il attendit donc son ami qui était sous la douche, pensant à ce qu'il pourrait faire aujourd'hui. Il guettait les moindres bruits pouvant signaler l'entrée de son ami dans la chambre mais le dernier bruit qu'il entendit avant qu'un grand silence n'envahisse la maison était la porte d'entrée qui claquait...
 
Tomohisa était partit ?

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Je crois que je suis un ficeuse pas patiente du tout XD Ne vous y habituez pas, quand j'aurai un manque d'inspi ça reviendra à un chapitre par semaine XD
 
Premier lime... vous en penser quoi?
 
Et la fuite?
 
En tout cas moi j ai prit plaisir *regard pervers* à écrire ce chapitre XD
 
Aller, la suite Mardi prochain =D

 
Montage de stawaca-music =D, il est coool =D I like, thanks ^^
 
Chapitre 9
 
- Bouge pas, j'en ai pour cinq minutes ! Avait dit Ryo à Tomohisa en s'engouffrant dans l'immeuble abritant son studio, laissant son ami seul.
 
Les cinq minutes s'étaient transformées en dix puis quinze sous le regard de plus en plus exaspéré de Yamashita. Il attendit encore trois minutes puis s'engouffra dans l'immeuble, montant les escaliers menant à l'appartement de son ami, se fut sans surprise qu'il remarqua que la porte était ouverte, il entra donc sans se faire prier se déchaussa et avança dans la pièce.
 
Il eût presque une crise cardiaque en remarquant le désordre régnant dans le minuscule studio, le rendant encore plus petit qu'à l'accoutumé.
 
Yamapi savait son meilleur ami bordélique... Mais pas autant... il marcha dans quelque chose de louche et non identifié, se baissa, ramassa l'objet et c'est avec une moue dégoutée et un geste brusque qu'il envoya le slip qu'il avait ramassé sur le divan. Il comptait battre en retraite vers la sortie quand il entendit un bruit sourd et un juron, il s'avança en vitesse vers ce qui devait être la chambre de son meilleur ami et le retrouva par terre, les quatre fers en l'air, il ne puis réprimer un éclat de rire.
 
-Tomoooooooooooo, pourquoi t'es entré ? J'allais arriver ! s'exclama Ryo en essayant de cacher les rougeurs qui avait prit place sur son visage et en se levant d'un geste souple, il avait glissé sur quelque chose de gluant, il ne voulu même pas identifier l'objet.
 
Bien entendu les rougeurs de Ryo passèrent inaperçu, Yamashita trop troublé par l'emploi de son prénom pour ne serait-ce que lever la tête vers son meilleur ami mais quand ses yeux, fixé au sol, rencontrèrent une paire de chaussette il fixa son regard sur Ryo avec le plus grand sérieux du monde.
 
-C'est quand la dernière fois que tu as fait le ménage ? lui demanda-t-il.
 
Les rougeurs qui apparurent alors sur le visage de Ryo ne passèrent pas inaperçu cette fois alors qu'il bredouillait des paroles compréhensible de lui seul.
 
C'est avec un soupir de résignation que Yamashita se baissa dans le but de ramasser le plus de vêtements trainant par terre, son côté compulsif maniaque ayant refait surface, mais fût arrêté dans son geste par la main de Ryo qui lui enserra le poignet et le regarda d'un air las. 
 
-Tomo, tu n'es pas ma femme de ménage, déclara Nishikido tout simplement.
 
Ledit Tomo rougit, à la fois pour son prénom réemployé et pour l'insinuation de son ami, c'est vrai qu'il n'était pas sa femme de ménage mais là, le bordel régnant lui dressait les poils derrière la tête. Il essaya de se recomposer un visage détendu et sans rougeur avant de fixer son regard brun dans celui noir de son vis-à-vis. Il plongea littéralement dedans, se laissant emporter par ce gouffre noir sans fond. Malgré tout il réussi, plus ou moins, à dire ce qu'il pensait à son meilleur ami.
 
-Ryo, commença-t-il.
-Mmh ? lui demanda celui, il n'avait toujours pas lâché le poignet de son ami et lui faisait face, le dépassant d'au moins cinq bon centimètres.
-Tu as vu la crasse dans laquelle tu vis ?
-Bien sûr ! J'y vis !
-Ben justement, s'énerva Yamashita, ce n'est pas vivable !
-Mais je suis pas un maniaque de la propreté moi, Monsieur ! s'emporta Ryo.
-Mais moi non plus !
-Vas-y répète ça que je t'enregistre, ironisa son ami.
-Bon d'accord, un peu...
-Un peu ? le coupa Ryo les yeux grand ouverts.
-Bon... beaucoup ?
-Extrêmement oui !
 
Durant le semblant de dispute ils s'étaient rapprochés de plus en plus, c'est quand leurs torses se touchèrent que Yamashita prit conscience qu'il était beaucoup trop proche de son ami, il se dégagea de la poigne de celui-ci et entreprit de continuer ce qu'il avait voulu commencer, c'est-à-dire : ranger !
 
-STOP ! cria Ryo.
 
Il recaptura le poignet de son ami et le tira à sa suite vers la sortie de son appartement quand une illumination lui vint à la tête. Son sac, il l'avait laissé sur son lit.
 
-Je reviens, touche à rien ou je te fais tout bouffer ! Clair ?
-Comme de l'eau de roche, répondit Yamashita en regardant son ami s'engouffrer dans sa chambre à la vitesse de l'éclair et en ressortir tout aussi vite avec un sac difforme et possédant une drôle de couleur sur les épaules.
-Quoi ? demanda Ryo en voyant le regard perplexe de son ami.
-Ce sac...
-C'est toi qui me l'as offert en première année de primaire, lui dit avec un grand sourire Ryo. Tu t'en souviens ?
 
S'il s'en souvenait ? Bien sûr ! Qui aurait pu oublier une horreur comme ça ? Pas lui en tout cas ! Mais ce qui l'étonnait c'était que Ryo l'avait encore, pire, qu'il l'utilisait !
 
-Oui, déclara simplement Yamashita, ne voulant absolument pas faire part de son trouble et de son contentement à la vue du sac à dos vieux de bien dix ans au moins !
 
C'est avec un tonitruant "cool ! " que Ryo se dirigea enfin vers la sortie, faisant un signe de tête à Yamashita pour qu'il le suive.
 
-Chez toi, puis ciné ! déclara-t-il.
-D'abord manger avant, je crève de faim, lui répondit Yamapi.
-Yeeeeah ! Et on mange quoi ? S'enthousiasma son meilleur ami.
-Tu devais pas m'inviter au resto ?
-Aaaaaah ! Mince !
 
Ryo prit son portefeuille et lança un regard désespéré dedans sous le regard amusé de Yamashita.
 
-C'est bon laisse pour cette fois, mais compte sur moi pour retenir que tu me dois un resto !
-Merci, tu es un amour ! s'exclama Ryo faisant rougir son ami. Alors, on mange quoi ? insista-t-il quand même.
-Mmh, je ne sais pas... Yamashita croisa les bras en prenant son menton entre le pouce et l'index et réfléchit à voix haute :
 
-J'aura bien aimé une omelette fourrée... continua-t-il dans un murmure.
-Tu cuisines ?
-Evidemment ! Tu risques de brûler ma cuisine !
-Yepaaaa ! Je veux alors ! déclara Ryo, niant expressément la remarque cinglante de son ami car il savait que celui-ci avait tout à fait raison ! A part les ramens il ne savait rien faire, et encore, ce n'était pas rare qu'il les cuise trop ou pas assez !
 
Ce fut donc dans la joie et la bonne humeur que tous deux se dirigèrent vers chez Tomohisa. Nishikido parlant de tout et de rien, faisant la conversation pour deux, ce qui arrangeait fort son ami qui n'arrivait pas à le suivre, Ryo était doué pour passer du coq à l'âne et pour faire les questions ET les réponses.
 
Une fois arrivée à l'appartement du premier Yamashita déclara simplement :
 
-Mon père est partit en voyage d'affaire et ma mère est de sortie jusqu'à ce qu'il revienne.
 
Si la situation familiale de Ryo était simple : parents riches divorcés, une mère partit à l'autre bout du pays et un père qui voulait l'indépendance de son fils, mais le gardant sous sa surveillance quand même en l'inscrivant dans l'école que lui-même dirigeait, et donc il lui avait acheté un studio pour qu'il y vive seul, la situation de Yamashita était légèrement plus compliqué. Lui aussi fils de parents riches mais ceux-ci était toujours officiellement ensemble... Officieusement quand son père partait en voyage d'affaire, sa mère elle allait chez son amant jusqu'au retour du mari.
 
Yamashita était habitué, quand il l'avait découvert, trois ans auparavant, il avait été choqué, en effet surprendre sa mère faire des choses pas net avec un homme autre que son père était pour le moins traumatisant... C'était Ryo qui avait passé ses journées à le consoler. C'était a  partir de cette période qu'il avait ressentit une attirance autre que de l'amitié pour son ami, mais il en avait toujours fait abstraction, il ne supporterait pas de perdre son ami pour une pulsion de jeunesse, étant persuader que ça allait passer.
 
-Ok, répondit simplement son meilleur ami avec un énorme sourire. Ca fera plus de place pour nous !
 
Sur ces mots il s'engouffra en vitesse dans la demeure des Yamashita sous le regard attendrit de son meilleur ami qui lui se dirigea vers la cuisine afin de préparer le souper.
 
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Bon... en fait j'ai écrit le chapitre et j'ai complètement zappé le resto, donc j'ai vite inséré en chlayt(sais pas du tout comment ça s'écrit Oo) un portefeuille vide pour notre chez Ryo XD
 
Bon le suivant Mardi, sauf si dans un extrême élant de générosité... (plutôt voir comment j'avance dans le chap 11 XD) je le poste plus tôt... on verra bien... et puis vos réaction aussi, la meilleur otivation n'est elle pas la critique?
 
Et puis... juste pour vous aidé a m'encouragé... dans le chap 10 y a un mini lime...
 
Moi sadique? Que nenni!! XD
 
ENJOOOY <3

Montage de moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii <3 ben vui moi aussi jpeux en faire XD 

Chapitre 2
 
Tegoshi rentra dans sa classe d'un pas conquérant, narguant la déléguée. Il jeta un discret regard vers la place de son ami qui lisait un livre, mais détail que seul lui pouvait remarquer, le connaissant depuis belle lurette, il avait les sourcils légèrement froncés. Il allait avoir encore droit à une belle leçon de morale tantôt, en conclut-il.
 
- Alors ? demanda-t-il à la déléguée.
- Oui, c'est bon, tu as gagné, grogna-t-elle.
- Oï Tegoshi, tu l'as vraiment embrassé ? Je veux dire Masuda Takahisa ? demanda un élève de la classe, n'ayant pas vu la scène.
- Oui ! déclara Tegoshi tout fièr, ne faisant pas attention au "baka" murmuré par son ami.
- Tu oses vraiment tout toi, éclata de rire un autre élève.
 
Tegoshi fit un énorme sourire voulant tout dire sur sa façon de penser.
 
Ce fut à ce moment que le professeur entra en classe et demanda où plutôt ordonna le silence.
 
La journée se passa sans autre encombre sauf que Shige le prit à part à midi pour une leçon de morale.
 
- Non mais tu te rends compte de ce que tu as fait ? le réprimanda-t-il.
- Oh, c'est bon, y a pas eu mort d'homme à ce que je sache, c'était un simple baiser, un lèvre contre lèvre, rien de plus, râla Tegoshi.
- Tesshi, si jamais je venais vers toi d'un coup et t'embrassais, tu réagirais comment ? lui demanda plus doucement Shige.
 
Tegoshi rougit d'un coup.
 
- C'est pas pareil, tu es mon meilleur ami, ça compte pas...
- D'accord, soupira Shige, alors si jamais Takaba t'embrassait ?
 
Tegoshi fit une grimace de dégout tout en prononçant un énorme "BEURK".
 
- Okey, mauvais exemple aussi... Si un inconnu vraiment canon t'embrassait ?
- Tu me trouves canon ? demanda Tegoshi avec un sourire malicieux et un regard mielleux.
- Tu es mignon c'est indéniable, mais là n'est pas la question répliqua Shige, connaissant le jeu de séduction de son ami par c½ur.
- Je le prendrais mal, aussi canon soit il, déclara enfin Tegoshi.
 
Shige esquissa un sourire.
 
- Bah voila. Tu vas t'excuser, maintenant ?
 
Tegoshi le regarda avec de grands yeux, outré.
 
- M'excuser pourquoi ? Pour lui avoir donné le meilleur baiser de sa vie ?
 
Shiga poussa un grand soupir quand la cloche sonna. Tegoshi se dirigea vers la porte du toit, là ou ils se retrouvaient pour parler pour se diriger vers ca classe.
 
- S'il-te-plait, demanda Shige. Excuse-toi.
 
Tegoshi se retourna et le fixa longuement, il baissa ensuite la tête en remarquant de la culpabilité dans le regard de son ami alors qu'il n'avait rien fait, pire, il avait essayé d'empêcher cela. Il murmura un petit oui qui fit retrouver le sourire  à son ami. Tegoshi fit un petit sourire aussi, moins franc que d'habitude mais bel et bien présent.

Le reste de la journée se passa normalement, entre les profs qui donnaient trop de devoirs et ceux qui s'extasiaient devant chaque bonne réponse que donnait Shige. Pas que leur classe soit une classe de cancres, loin de là... Mais un peu fainéants sur les bords.

A la fin des cours, Shige lança un regard entendu à son ami qui soupira. Non il ne pourra pas éviter la case “excuses“  apparemment.

Il se rebella tout de même, n'étant pas quelqu'un qui aimait s'excuser, surtout pour quelque chose qu'il ne considérait pas du tout comme une faute.

Shige dut lui tirer le bras pour qu'il le suive jusqu'au groupe d'amis, groupe auquel manquaient deux personnes à l'appel : Keiichiro, pour le plus grand bonheur de Shige qui ne voulait pas de nouveau se retrouver en face à face avec lui, et Ryo.

- Allez ! ordonna Shige d'une voix sans appel en plantant Tegoshi devant Masuda.

Masuda qui comme par reflexe mit ses deux mains devant sa bouche pour la parer d'une éventuelle attaque. A ce geste Tegoshi eu un sourire moqueur et un regard taquin, chose que remarqua directement son ami, il lui donna donc un coup de coude afin de le ramener à la réalité et l'empêcher de faire une nouvelle gaffe.

- Je m'excuse Masuda-sempai de t'avoir embrassé, dit Tegoshi d'une voix bougonne.

Yamashita pouffa tout en déclarant :

- C'est juste maintenant que tu t'excuses ?
- Je te signale, siffla Tegoshi avec un regard rageur, qu'à la base je ne comptais même pas m'excuser, pour moi un pari est un pari, tant pis pour les autres !
- Tesshi... commença Shige.
- Non ! Continua Tegoshi, il se retourna ensuite vars Masuda.
- Je ne vois pas de quoi je dois m'excuser, de t'avoir donné le meilleur baiser de ta vie ? Si Shige ne m'y avait pas obligé je ne l'aurais pas fait !

Ils entendirent alors un grand éclat de rire, Shige et Tegoshi se retournèrent vite pour voir de qui provenait ce son. Ils découvrirent alors Keiichiro et Ryo dans leur dos, Ryo, prit dans son fou rire, ne parvenait pas à articuler la moindre syllabe et Keiichiro murmura un “ah bon ?“ plein d'ironie.

Shige rougit d'un coup en croisant le regard de Keiichiro. Ni une ni deux il prit Tegoshi par le bras et l'embarqua avec lui vers la sortie de l'école.

-Tu me fais mal Shige, geignit Tegoshi.
-Ah, pardon ! S'excusa celui en remarquant qu'il serrait vraiment fort le bras de son ami.
-Je me suis excusé, tu n'es pas contant ? lui demanda Tegoshi avec un pointe de sarcasme dans la voix.
-Si tu appelle ça t'excuser !
-Bah désolé, mais je te rappelle qu'à la base je ne comptais ni ne voulais m'excuser tu sais !

Shige se retourna vers son ami avec un regard désespérer, avant de lui faire un petit sourire, il s'était excuser malgré tout, même si ce n'était pas dans les meilleurs forme. Alors qu'il allait dire quelque chose a son imbécile d'ami un grand “TEGOSHIIIIIIII“ retentit.

Ils se  retournèrent tout deux vers la source du bruit et virent une fille qui agitait les bras dans tout les sens.

-On se voit demain, ne ? demanda Tegoshi.
-Hai, rentre bien.

Shige partit de son coté afin de rentrer chez lui en faisant un dernier signe d'au revoir vers Tegoshi, signe qui lui fut rendu. Une fois que Shige eut dépassé le coin de la rue Tegoshi se dirigea vers la jeune fille et le regarda avec mépris.

-Qu'est-ce que tu veux ? lui demanda-t-il d'une voix hargneuse.

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Voilààààà, chapitre 2 XD normalement je posterai un chap toutes les semaines sauf si l'inspiration me manque ^^
J'espère que ce chapitre vous aura plu^^
n'hésité pas à donner votre avis ^^
Bisouuuuuuw a la semaine prochaine^^